Du rififi à Peyresq

Voici une lettre reçue aujourd'hui de quelqu'un pas content... Je vous laisse juge.

"À Bruxelles, le 6 septembre 2007.

Madame, Monsieur,

Je voudrais revenir sur des événements déplaisants que j’ai vécus cet été à Peyresq dans le cadre d’un antagonisme marqué entre Jacqueline, responsable de l’administration, et moi.
A la base de cette lettre trois refus d’octroi de chambre et une surfacturation de mon séjour.

Du refus d’octroi de chambre

Acte un
J’avais réservé et payé par internet une chambre pour deux semaines à partir du 4 Août.
Mon amie Marie ayant pu se libérer en dernière minute j’ai demandé, à mon arrivée, à Jacqueline si je pouvais obtenir une chambre 2 personnes pour que mon amie puisse me rejoindre.
« Impossible ! » m’a-t-il été répondu.
J'ai donc accepter de loger mon amie dans ma chambre 1 personne (Fabri tarif : 1 soleil) (j’avais du matériel de camping me permettant de le faire) étant entendu que je règlerais sa pension au tarif normal de la chambre.
« Impossible ! » m’a-t-il été répondu car « il y a des problèmes d’intendance ! ».
Je me suis alors engagé, en cas de pluie, à manger en dehors du village.
«Ce n’est pas le problème ! » m’a-t-il été répondu.
Je n’ai reçu aucune autre explication sur ce qui rendait ma demande impossible.
Jacqueline a ajouté que Marie « n’avait qu’à se loger à L’Oustalet. »
J’ai signalé à Jacqueline mon désaccord et j’ai décidé, devant ce refus arbitraire, de faire venir mon amie malgré elle et je l’ai fait savoir au chef de village.
Mon amie est arrivée à Peyresq le jeudi 9 Août.
Lors de son inscription Jacqueline nous a signalé que « ça allait » jusque dimanche mais qu’après Marie devait quitter le village.

Acte deux (Quand l’impossible devient miracle)
Devant cette nouvelle décision injustifiée j’ai fait part au chef de village que je n’entendais pas faire repartir mon amie.
Il nous a finalement été signalé le samedi que (grâce au chef de village ?) mon amie pouvait rester.
De plus il nous était octroyé une chambre 2 personnes ( Coubertin tarif : 2 soleils). !!!!!!!!!!!!

Acte trois (quand l’arbitraire est poussé jusqu’à l’absurde)
Lors du paiement de la facture de mon amie, le vendredi, j’ai signalé à Jacqueline que je souhaitais rester quelques jours de plus.
« Impossible ! » m’a-t-il été répondu. !!!!!
J’ai fait remarquer que la semaine à venir le village allait être a moitié vide !
Il m’a été répondu que je n’avais qu’à me loger à l’Oustalet (encore ?!!!!) et que je
pouvais être bien content « qu’elle m’accepte » au restaurant
Devant cette nouvelle décision complètement absurde, j’ai à nouveau saisi le chef de village du problème.
J’ai obtenu le samedi à 17h la clef de ma nouvelle chambre ( Snoek ).
(PS : pas compris pourquoi pas la même chambre, ce qui aurait évité une lessive de drap et un nettoyage !!).
J’ai signalé à Jacqueline le lundi soir que je quitterais le village le mercredi midi après ma corvée.

De la surfacturation (ou de la vengeance de Jacqueline de voir son autorité par 3 fois bafouée)

Acte un
Le vendredi du paiement du séjour de mon amie il m’a été présenté une note de 9 jours à 34€ que j’ai réglé.
Je me suis renseigné ensuite sur les différences de prix entre ma chambre Fabri et ma chambre Coubertin. J’ai constaté qu’il y avait surfacturation. J’ai à nouveau saisi le chef de village du problème.

Acte deux
Je me suis présenté le mercredi de mon départ pour payer ma prolongation et je me suis vu présenter une note de 7 jours (au lieu de 4 !) à 34€.
Devant mon étonnement il m’a été affirmé qu’à Peyresq les chambres étaient toujours facturées « à la semaine » !
Faux !ai-je répondu. Nombre de séjournants restent plus longtemps ou arrivent plus tôt pour éviter les bouchons sans se voir facturer une semaine entière.
De plus je lui présentai la facture de mon amie lui faisant remarquer que 9 n’était pas que je sache un multiple de 7 !
Comme Jacqueline campait sur ses positions je lui ai fait le reproche que ce n’était pas la première fois qu’elle essayait de me gruger. Et de lui parler, alors, de la facture de mon amie !
Elle accepta alors ( !) de défalquer 2 X 3,50€ pour les 2 nuits passées à Fabri !
Ne voyant rien venir de plus je lui parlai de ma note réglée par internet.
Elle accepta alors seulement ( !) de défalquer 7 X 3,50€ pour ma semaine à Fabri mais refusa tout autre rectification.
Je lui ai fait part de mon écoeurement devant sa façon d’agir que j’estimais mesquine et malhonnête.
J’ai réglé la note tout en lui affirmant que les choses n’en resteraient pas là car il y avait là plus une question de principe que d’argent.
Elle a conclu l’entretient en me disant que puisque j’étais « riche » je n’avais qu’a considérer le surplus comme un « don » à Pro Peyresq.

En conclusion
Je considère ces événements comme graves car non seulement ils auraient pu faire perdre 13 nuitées à Pro Peyresq (au profit de l’Oustalet) mais ils mettent en évidence des actes d’abus de pouvoir et de malhonnêteté.
Je demande aux responsables de Pro Peyresq de tout mettre en oeuvre pour que cesse cette situation ou nombre de séjournants sont victimes du bon (ou du mauvais) vouloir d’une personne qui estime que son statut particulier la place au dessus de règles fondamentales d’administration.
Je transmettrai copie de cette lettre à toute personne que je jugerai utile afin que ce message soit clairement entendu.
Je vous remercie de votre attention et vous présente, Madame, Monsieur, mes amicales salutations.

Musette Jean-Paul"

elle vieillit mal la jaqueline... ...

Comment doit-on se positionner par rapport à cela d'après toi !?

Je ne sais pas, tout ça est un peu légé et facile.

Je n'ai pas pu aller à la réunion précédente et je n'ai pas encore lu le PV de cette réunion.
Mais à comprendre les quelques réactions, Pro-Peyresq voit d'un mauvais oeil ce genre de diffusion de l'information (ça fait plus règlement de compte qu'autre chose, et là-dessus ils n'ont pas tord) et soutient bien entendu Jacqueline, c'est la moindre des choses.

Une lettre réponse était en préparation et je n'en ai pas encore pris connaissance.

Je vous tiens au courant.